Atios O. Pergrande
Messages : 3 Date d'inscription : 18/04/2014
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| Sujet: The tales of the seikentsukai Sam 19 Avr - 2:04 | | Informations Personnage
| *Nom: Pergrande *Prénom: Atios (Ocario, Maxwell) *Âge : 21 ans *Sexe : Masculin *Rang : S *Guilde: Garde royale, chevalier de la princesse de Fiore *Magie : Kansō: Seikentsukai
| Histoire & Psychologie *Psychologie: Imaginez un prince charmant héroïque qui aurait passé trop de temps à vivre ainsi ? Non, le troisième prince de Pergrande n'est pas quelqu'un de mauvais ou de décevant, au contraire, malgré les reproches qu'on pourrait lui faire, il n'en reste pas moins quelqu'un de sincèrement gentil et dévoué. Au-delà de ça, un peu d'orgueil et de prétention forment le principal éceuil naturel qui se développe en même temps que les pouvoirs d'une personne. Ajouté à cela que malgré sa sagesse, il ait acquis une bonne réputation en tant que jeune homme et qu'il est notoire qu'il soit un prince ; vous comprendrez qu'on le traite avec respect ce qui n'est pas toujours facile pour rester humble. Pour autant, la rigueur de l'académie militaire de Fiore est restée sur lui et même si de temps à autre, le jeune homme est un peu précieux, la nuance est toujours possible en fonction de la gravité.
Courageux, ça il l'est. Intrépide, voir téméraire, audacieux dans les meilleurs moments, le jeune prince de Pergrande ne supportait déjà pas à sa jeune époque l'enfermement dans un palais ou dans une ville ; c'est un voyageur qui aime autant pouvoir jouir de sa stabilité que de pouvoir s'en éloigner. Il aime l'action et il aime se battre, progresser, comprendre et apprendre. C'est quelqu'un qui vit dans le présent, dès lors que celui-ci est mouvementé. Et quand tout est calme, alors la dicentrie se forme et il aura alors plus tendance à être anxieux du futur et de regretter le passé. Néanmoins, sa vaillance va de pair avec le danger. On peut dire qu'en période de calme, il aura plus tendance à être fainéant ou peu sérieux.
Vaillance ou pas, elle ne serait rien sans détermination, qui elle-même oscille entre ce qui peut paraître être une source intarissable et au vide le plus profond. Mais sachez que si vous parvenez à lui justifier son entêtement, le troisième prince de Pergrande ne s'arrêtera que lorsque la raison de cet entêtement ne sera plus. Sa force mentale allant de pair avec sa détermination, le jeune homme, à force d'endurer la douleur pour et par les autres, s'est créer une véritable muraille intérieur pour porter les fardeaux qu'il aurait à porté, ce qui signifie que même dans le plus mauvais des états, même dans la plus lamentable et pitoyable des conditions et même dans le désespoir le plus complet, il se pourrait qu'il s'acharne, encore et encore, jusqu'à son dernier souffle. Sa détermination sans faille et son ingéniosité font de lui un génie du travail et de la magie.
Car le jeune homme est quelqu'un de passionné. S'il vit la vie comme elle vient dans l'instant présent, il la vit avec force et engouement. Tantôt maussade, parfois optimiste, il reste quelqu'un de bon vivant et sa voix, forte mais agréable à entendre, est la convoyeuse attachée de ses sentiments. Des sentiments naïfs, d'ailleurs ! De par ses origines nobles et sa vie particulièrement froide, le jeune homme à grandi trop vite en tant qu'être humain pour devenir un adulte au cœur immature. Entre la réalisation complète de la dureté de la vie et de sa beauté, le jeune homme à dû mal à rester lucide face à l'océan que peut devenir la vie. Pour les autres, il sera toujours prompt à tenter d'être clairvoyant. Pour lui par contre, il aura beaucoup plus de mal à être soigneux ou à trouver de l'espoir. N'en reste-t-il pas moins un prince charmant attachant et agréable, qui fait preuve d'ouverture au monde, loin du mépris des hommes de haut rang ; ce qui est incompatible avec son vécu, car sa force et son rang de garde Royal de Fiore, il lui vient de ses efforts et loin de son titre royal issu de Pergrande, un titre qu'il n'a jamais revendiqué et qui est peu à peu sorti de l'anonymat contre son gré.
Loin de vivre comme un prince, le jeune homme ne rejette ni ne convoite le luxe. L'académie militaire forme ses chevaliers à la dur, le jeune homme à beaucoup voyagé seul sur les routes avant de la rejoindre, il s'est donc habitué à vivre de peu, malgré l'appréciation du soin qu'il peut apporter à son environnement ou sa personne ; Atios n'est pas quelqu'un de négligé. Même s'il reste quelqu'un qui s'habille formellement. Dans son cercle privé, on le verra habillé très légèrement, mais en toute occasion officielle ou en extérieur, il essaye de porter des vêtements qui iront avec l'image que le monde veut voir de lui : costume et chemises, voir armure pour les cérémonies officielles. Il est d'ailleurs un jeune homme assez fringant et plein de prestance ; c'est un prince de fait comme de physique.
Généreux ? Plutôt oui. Comme précédemment dit, c'est quelqu'un de plutôt dévoué aux autres. Il n'aime pas que l'on vienne l'embêter pour des problèmes mineurs, mais si quiconque est en danger ou si quiconque à besoin de se confier, ou de compter sur lui, il répondra présent. C'est même d'ailleurs sa principale faiblesse ; son dévouement envers autrui tourne parfois au nihilisme interne et il n'est pas malhonnête de dire que le jeune homme se maltraite dans l'intérêt des autres. Mais en parlant d'honnêteté, abordons celle du jouvenceau... Un autre de ses défauts est sa sincérité : il est direct et manque parfois cruellement de tact ; combiner cela avec un peu de prétention et une perception du monde assez logique et vous aurez quelqu'un qui, en plus de ne pas supporter l'injustice, se veut logique et voir de la logique. Si vous mentez, si vous vous comportez mal, sachez-le : s'il le cache, c'est qu'il vous attends au tournant ; s'il ne le cache pas, il n'hésitera pas à vous mettre face à vos torts et faire preuve de cruauté.. Car oui, un prince attachant tire sa beauté aussi de sa naïve cruauté ; habitué au conflit et à une vie particulièrement dure, il peut rapidement devenir aussi dur que cette douce mère qui l'a formé. Avec un franc parlé qui n'est plus à prouver, le jeune homme peut devenir extrêmement blessant et provoquer des conflits ouverts.
Mais malgré tout, si une des qualité devait personnifier le jeune homme, c'est sa gentillesse qui est un puits sans fond, caché par sa nature farouche, née des souffrances comme barrière pour ne pas se laisser abuser - ce qui arrive toujours -, le jeune homme ne peut simplement pas désirer la souffrance d'autrui ou même la douleur. La douleur des autres le fait souffrir et l'attriste. C'est notamment pour cela qu'il est de façon intrinsèque, quelqu'un que l'on peut qualifier de puits sans fond de gentillesse, sans que cela soit forcément visible au premier abord.
Concernant ses goûts .. Le jeune homme aime dormir, manger, le soleil, les filles, les plats cuisinés, la magie et bien d'autres choses encore. Atios est un garçon assez hétéroclite. Même s'il aime les filles, le jeune homme n'est pas très à l'aise avec elle ; il est plus habitué à l'école militaire où elles n'étaient pas nombreuses et où le règlement était strict. Il aime la magie aussi, parce que c'est ce qui lui permet de vivre et qui lui permet d'avoir une existence somme toute, non-monocorde. Il aime l'aventure aussi et c'est notamment pourquoi il est peu apprécié dans la garde royal, car il est toujours en mission pour le royaume mais loin de la famille royale.
Mais quel est le passé du troisième prince de Pergrande ? Comment a-t-il rejoint la garde royale de Fiore malgré son statut de prince étranger ? Et surtout, d'où lui vient sa maîtrise de la magie à si jeune âge ?
*Histoire:
Le jeune homme releva sa capuche et se releva de sa position agenouillée. Son armure était composé d'une cuirasse avec épaulières et des jambières et cuissardes d'argent. Par dessous, il portait un noble tabard et une tunique à capuche de couleurs bleu foncé. Cette tenue, elle était celle du troisième prince de Pergrande, Atios Ocario Maxwell de Pergrande. Le jeune homme fit face à une demoiselle portant une longue robe verte claire. Les cheveux de la princesse descendaient en cascade dans sa nuque. Dignement, il faisait face à celle qu'il devait protéger.
« Princesse, vous m'avez appelé ? »
La demoiselle s'approcha de lui lentement, en lui faisant un grand souire. Elle était aussi jolie qu'on l'attendait pour une princesse.
« Atios de Pergrande, porteur de l'épée sacrée Excalibur, troisième prince du royaume de Pergrande... Major de sa promotion à l'académie militaire de Fiore, grand aventurier et mage solitaire... Toi qui es devenu celui que l'on surnomme comme étant le chevalier de jade, j'aimerais que tu m'expliques de choses te concernant. Il est normal que tu m'en apprennes un peu plus, puisque ma vie est entre tes mains. »
Le jeune homme soupira en allant se poser contre un mur, les bras croisé, l'un de ses pieds posé contre la pierre du château. Lui en dire plus à son sujet ? N'avait-elle pas des dossiers le concernant ? Au moins ceux de l'académie militaire royale de Fiore.
« Troisième prince de Pergrande... Eh bien... Il y a une époque, mon père m'avait déchu de mon titre. S'il me l'a rendu, ce n'est pas avec mon consentement, princesse Hisui. De même, comme vous devez le savoir, ceux qui rejoignent la garde royale sont formés à l'académie militaire de Crocus. Les mages qui y sont formés sont ensuite dirigés à un poste qui convient à leur niveau en échange de leur solde. Les meilleurs dirigeront des escadrons et seront nommés chevaliers. Au contraire, les moins talentueux ne seront juste que des gardes. »
Une sélection tout à fait logique. Seul la bravoure et la force, le courage et la sagesse et d'autres qualités remarquables permettaient d'obtenir le titre de chevalier, de Sir. Lui ? Il avait eu une double carrière avant et pendant sa formation au sein de l'académie royale. Ceux qui entraient par conscription finissaient garde, ce qui n'avait jamais été son objectif.
« J'ai profité de mon travail de mage pour réunir des économies et rejoindre l'un des cursus payant de l'académie, tout en continuant mes travaux pour payer mes frais. Et cela m'a permis de progresser sur le terrain. »
La princesse s'installa sur la chaise de sa coiffeuse et fixa le jeune homme. Jeune ? Plutôt oui. Il avait l'âge de ceux qui avaient débutés la magie au plus jeune âge. Et la magie de ce-dernier en faisait un chevalier à part entière. Peu avaient pu le voir à l’œuvre, il n'en restait pas moins un combattant de première trempe. Maniant une épée sacrée ancestrale et manipulant la magie, le jeune homme n'avait rien à envier aux autres... Elle avait été l'une des rares personnes à assister à une courte démonstration des talents du jeune homme, lorsqu'un mage noir avait failli parvenir à l'assassiner. Le jeune Atios n'était alors qu'un chevalier d'escadron des plus simples. Mais quand elle l'avait vu se précipiter et arrêter l'attaque qui lui aurait été fatal, elle avait su qu'elle n'aurait pu trouver meilleur garde personnel que lui.
Dans un flash lumineux, il avait survoler la foule en laissant une trainée de lumière derrière lui, avant de parer l'attaque de son épée et lui demandait si elle allait bien. Un sauveteur qui se révélerait être plus-tard un prince ayant fuit sa famille. Comme quoi, le monde était petit.
« Pourquoi être parti de chez toi ? »
« La réponse la plus évidente serait l'aventure, à la base. Si j'étais resté dans ma famille, soit ils m'auraient mariés de force à je-ne-sais-qui et m'auraient forcés à rester à Pergrande entre quatre murs, soient ils m'auraient fournis un rôle d’écuyer et même si c'était la solution que j'aurais préféré, j'ai pris les devants et je suis parti. Mon père avait deux autres fils, le premier étant l'héritier selon la règle de la primogéniture. »
C'était vrai. Il n'aurait jamais eu qu'une existence d'héritier secondaire bon à être marié. Et à Pergrande, il était rare que les princes soient envoyés à la guerre. Au final, lui qui avait toujours rêvé de vivre des aventures dès son plus jeune âge, avait vite trouvé son environnement direct, comme oppressant. Aussi, vers sa première décennie, s'était-il enfuit. Le jeune homme releva les yeux vers la princesse de Fiore et dit alors :
« Vous voulez savoir autre chose sur ma personne, ou je puis disposer, Princesse ? »
Il restait très formel envers celle qu'il devait garder. Heureusement pour lui, elle ne lui demandait pas d'être toujours là. Seulement dans les grandes occasions ou de temps en temps, l'espace d'un soir. Elle savait que son chevalier était aventureux et ne tenait pas en place. Ces vérités furent encore plus entérinés par le récit succin mais précis du jeune homme sur sa vie passé. N'en déplaise qu'elle avait une question concernant la réputation du jeune prince. Celui-ci était aussi connu pour l'objet unique dont il était le détenteur, mais aussi le porteur. Se relevant, elle s'approcha de lui et le regarda droit dans les yeux, avant de lentement prendre sa main.
« Est-il vrai que tu es le dernier porteur d'Excalibur en titre ? »
Le jeune homme fit la grimace. Il n'aimait pas tout le tapage sur sa magie, peu importe à quel point elle était ancestrale. Une épée finement décorée, une lueur dorée... Un chevalier sacré, un paladin, un croisé, un templier, peu importe comment les porteurs de l'épée sacrée étaient perçus, ils étaient toujours révérés comme des sauveurs dans une période troublée... Et la longue histoire d'Atios dans le monde de la magie avait débuté par sa rencontre avec l'épée... Qu'il avait bien entendu retiré de son sanctuaire, refermant les chaînes du destin sur sa propre personne. Une existence vouée à la défense des autres. Il ne l'avait pas fait exprès à l'époque ; l'épée n'avait pas su trouver de porteur depuis très longtemps et sa magie était faiblissante. Un état de fait qui avait permis à un garçonnet de 10 ans de retirer l'épée. Les années qui suivirent en compagnie de l'esprit qui habitait la lame, fut l'occasion pour le jeune homme de grandir en tant que porteur de l'épée et de restaurer celle-ci.
« Affirmatif, princesse Hisui. »
Elle s'approcha encore un peu plus et lui demanda alors :
« Comment l'es-tu devenu ? »
Le jeune homme soupira en réaction à la proximité de la princesse dont les yeux couleur de jade brillaient de curiosité.
« J'ai trouvé la lame étant jeune et je l'ai retiré. En faisant ça, j'ai signé un pacte avec son esprit protecteur. C'est comme ça que je suis devenu le porteur de l'épée. »
Il n'y avait rien d'autre à a jouter de plus sur les faits... Voilà ce qui résumait en grande partie sa vie. Bien sûr, ce n'était pas les détails, mais personne ne pourrait réellement les faire s'échapper de la mémoire du jeune homme sans son accord ou par de simples questions. Une vie d'aventure, de magie et de combats, d'affrontements avec des créatures et des mages noirs de toutes sortes, dans des tâches de toutes sortes, une vie de militaire dans une académie aux entraînements journaliers tout ça pour en arriver à être l'un des plus grands chevaliers de Fiore, tout cela ne pouvait être conté en une fois. Elle fit quelques pas en arrière en souriant. C'était un sourire resplendissant, au firmament de la beauté de celle qui était la fille du Roi de Fiore.
« M'aideras-tu à protéger le royaume et le monde, Sir Atios de Pergrande ? »
Le jeune homme sourit et inclina un peu la tête avant de déclarer, solennellement, une lame dorée apparaissant dans sa main :
« Je l'ai déjà juré à cette épée et j'ai jurée de vous protéger princesse... Vous êtes déjà partie intégrante de mon monde. »
Informations joueur Prénom : Antonin. Âge : 20 ans. Expérience RP : 10 ans. Personnages favoris dans Fairy Tail : Zeref & Mavis. Comment avez vous connus le forum ? Une amie. Votre disponibilité : Je ne saurais vous le dire, hélas. J'ai une vie plutôt chargée et fluctuante : / Nom du personnage de votre avatar : Saber de Fate / Prototype, mais je l'ai éditée pour convenir à l'idée de ce que je me faisais du personnage que j'incarnerais ici. Par ailleurs, j'aurais aimé savoir si je pouvais prendre Kirigaya Kazuto comme apparence d'appoint, les images de ce dernier étant plus nombreuses.
Dernière édition par Atios O. Pergrande le Ven 2 Mai - 23:58, édité 5 fois |
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